Andrea Duro
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 Interview d'Andrea et Joel pour Vim Magazine | Entrevista de Andrea et Joel para Vim Magazine

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Johanna Lilo
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MessageSujet: Interview d'Andrea et Joel pour Vim Magazine | Entrevista de Andrea et Joel para Vim Magazine   Interview d'Andrea et Joel pour Vim Magazine | Entrevista de Andrea et Joel para Vim Magazine Icon_minitimeJeu 8 Mai - 3:10

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Le succès leur est arrivé en partie double et c’est que ce couple n’arrête pas. Andrea Duro et Joel Bosqued sortent le 16 mai le film ‘Por un puñado de besos’, réalisé par David Menkes. De plus, un mois plus tard ils reviendront sur nos grands écrans dans la version espagnole de ‘Perdona si te llamo amor’ et bientôt nous les verrons à la télévision dans ‘Victor Ros’. Aujourd’hui nous apprenons un peu plus ce qu’ils manigancent.

Photographie : Sergio Lardiez – Maquillage et coiffure : Naomi Gayoso (N.Y.C) pour Inglot et Mön Icon – Styliste : Laura Martin – Assistante maquillage et coiffure : Gena Jimenez – Assistant styliste : Victor Caballero – Texte : Miriam Puelles.

‘Por un puñado de besos’ est votre nouveau film et il va sortir officiellement au cinéma dans les prochaines semaines, le 16 mai. Comment s’affronte une première pour laquelle il y a tant d’attentes de la part du public ?
Andrea : Avec beaucoup de peur mais contents. Et très impatients de voir comment réagissent les gens.

Néanmoins, comme il s’est passé pour le succès de l’année ‘8 appelidos vascos’, la sensation qu’elle a laissé dans la critique de la dernière édition du Festival de Malaga n’a pas été la meilleure. Comment réagissez-vous devant ce type de critiques ?
Andrea : Une chose sont les critiques et une autre le public. Moi j’ai été à la projection du film au Festival du Ciné de Malaga et elle a eu une ovation de la part du public. C’est un film dirigé à un spectateur très précis mais je crois qu’il plaira. Le public au final n’est pas influencé par ses choses.

Au final ce sont précisément les spectateurs qui parient ou non pour un projet... Qu’est-ce que vous leur diriez pour qu’ils aillent dans les salles ?
Andrea : Qu’ils vont se retrouver avec une histoire romantique et belle. Ils doivent sortir de chez eux pour aller la voir.
Joel : Je pense comme Andrea. Que ce qu’ils doivent faire est sortir de chez eux et allez au cinéma pour passer un bon moment.

Dans cette production vous interprétez Sandro et Marta, mais ce sont eux ceux qui vous ont trouvé ou vous les avez trouvé ?
Andrea : Moi je crois que c’était eux, non ? (rires)
Joel : Un peu de tout. Ca a été un cumul de choses. Andrea l’a trouvé et m’a trouvé aussi. Moi je l’ai accompagné aux essais de costumes et tout a été un peu une surprise. Etant là, nous nous sommes retrouver avec le réalisateur et d’un coup, je me suis vu dedans.

Racontez nous un peu, que vont apporter à cette histoire si particulière ces deux personnages ? Nous les aimerais ou les détesterons ?
Andrea : A moi ça m’affecte un peu plus clairement car j’ai une espèce d’affaire avec le personnage de Martin et oui ça me touche. Elle ne va pas laisser indifférente mais elle ne va pas non plus apporter beaucoup. Ce sont des personnages qui complémentent l’histoire mais ni Joel ni moi sommes les méchants du film.
Joel : Mon rôle est très petit. C’est le copain de Megan Montaner, qui est l’une des protagonistes du film. Mais je ne peux pas te raconter plus parce que je te raconterais le film (rires).

La personnalité de chaque personnage peut dire beaucoup de celle du propre acteur, et ça peut être compliqué de se sentir totalement identifié à eux. Sandro et Marta ont-ils une relation avec vous-même ?
Andrea : Non, pas du tout.
Joel : Non.

La différence entre caractères au moment de la préparation et création du personnage complique t’elle beaucoup ou au contraire ça la facilite ?
Andrea : Non, cela est du temps de répétition et qu’ils te disent bien que c’est ce qu’ils veulent et c’est bon. Nous avions un coach qui participait au film qui est merveilleux, Richard Segun. Il savait clairement ce que voulait David et il nous l’a très bien transmit.

Qui a été ce personnage que vous avez interprété et que vous vous êtes dit ‘non, toi et moi nous ne nous entendrions pas bien’ ?
Andrea : Moi je crois que presque avec aucun, j’ai toujours eu des filles gentilles (rires). Peut être avec Mara mais ce serait question de s’entendre.
Joel : Le personnage de ‘Tierra de Lobos’ était un peu étrange mais au final tout a un sens. Moi je le comprenais alors tout ce que je pourrais dire de lui serait pour le justifier.

David Menkes revient sur le panorama cinématographique avec ce film. Après ‘Mentiras y gordas’, il nous a démontré être un réalisateur, pour le moins, audacieux. Comment avez-vous affronté le travail avec lui avant de commencer le tournage ? Comment s’est passé l’expérience au final ?
Andrea : C’est un type très tranquille qui sait très clairement ce qu’il veut et c’est un bon réalisateur. C’est un réalisateur très audacieux. Il a pris des risques avec ‘Mentiras y gordas’ et il en a pris avec ‘Por un puñado de besos’ aussi, mais c’est un des meilleurs réalisateurs avec qui j’ai travaillé. Il m’a vraiment beaucoup surpris et c’est ce qui m’importe.
Joel : Moi je crois que David est une personne merveilleuse avec des idées très claires. C’est une bonne personne et un grand directeur, en plus d’un bosseur qui vit jour après jour et à 100%.

‘Por un puñado de besos’ est le premier des nombreux projets ‘en couple’ qui verront le jour tout au long de l’année. Hasard ou préméditation ?
Andrea : C’est le hasard. Dans ce film, par exemple, oui ils avaient besoin d’un acteur pour le personnage de Sandro, ainsi quand nous nous sommes retrouver avec David pendant les essais de costumes il lui a proposé et ce même jour Joel était en train de lire le scénario. Tout a été très rapide et précipité.

Travailler dans quelques productions ensemble vous permet de compter sur ce que beaucoup considérerait un luxe : la confiance. Et le soutien dans l’équipe. Quel est la chose la plus positive que vous retirez de cette circonstance ?
Andrea : Et bien c’est que nous ne voyons presque pas quand on travaille ensemble. Dans ‘Por un puñado de besos’ nous avons coïncidé sur le tournage pratiquement un jour, alors nous ne nous sommes pas vu. Moi j’ai une trame et lui en a une autre totalement différente. Dans ‘Perdona si te llamo amor’ oui nous avons coïncidé quatre jours mais pas plus non plus.
Joel : La vérité c’est que telles que sont les choses que nous ayons double travail à la maison est génial. Surtout toute l’illusion d’être ici, nous sommes chanceux d’avoir du travail dans les temps qui courent. Et souhaitant que ça continue ainsi.

Après une première au cinéma ou à la télévision, vous faites partis des acteurs qui essayent de visualiser vos erreurs pour les améliorer, vous profitez avec le résultat de votre travail, ou, directement, vous ne vous voyez pas ?
Andrea : Ca dépend. Moi j’ai toujours très peur les premières fois et je ne les vois pas confortablement, mais après le visionnage antérieur ou pendant l’avant première tu te détends et profites. Par exemple, il y a des épisodes de ‘Physique ou Chimie’ que je n’ai jamais vu et de ‘El Secreto de Puente Viejo’ non plus. Cela oui, aussi pour le manque de temps.
Joel : La première fois que tu vois quelque chose tu ne t’en rends même pas compte, parce que tu gardes un œil sur tes erreurs, de celui d’à côté… tu as besoin de le voir plusieurs fois pour pouvoir profiter. Et avec les séries, encore plus si c’est une série quotidienne, au final tu n’arrives pas à tout voir.

Cinéma et télévision, ne vous ont pas résisté mais avez-vous pensez à jouer un projet ensemble, peut-être au théâtre ?
Andrea : Nous avons un projet mais allons que moi avec les secondaires ça me va très bien (rires). Si on m’offrait quelque chose de personnage principal je ne le refuserait pas mais avec les secondaires je suis aussi bien.
Joel : Pour le théâtre c’est quelque chose que nous avons très présent comme production propre mais au final nous ne nous y mettons jamais. Et au cinéma et à la télévision et bien ça serait fantastique. En ce moment même, n’importe quelle chose est bien. Ca c’est sûr, de ne pas être le personnage principal tu peux te sentir moins coupable si le projet échoue.

La prochaine qui va arriver est la version espagnole de l’adaptation de ‘Perdona si te llamo amor’. Andrea, à toi tout au moins, Federico Moccia te poursuit non ? Le succès de 3MSC se répètera ?
Andrea : Ca a été un hasard de la vie… à voir s’il me connaît et m’appelle pour le prochain film (risas). Dans ‘Perdona si te llamo amor’ nous comptons sur une très bonne chose qui est que les gens ont lu le livre et les gens aiment voir ce qu’ils ont lu. Moi je crois que ça va très bien se passer.
Joel : Moi je crois que ‘Perdona si te llamo amor’ est un film qui va plaire à tout le monde, c’est une comédie romantique du genre qui plait à tout le monde et va attirer autant les adultes que les plus petits. Peut être que ‘Tres Metros sobre el cielo’ est plus juvénile et ‘Perdona si te llamo amor’ est plus pour tous les publics. Cela oui, ça va être un film très amusant.

Le fait qu’il s’agisse d’une histoire qui a été dans les cinémas espagnols il y a relativement peu, vous croyez que cela va nuire ou bénéficier à l’heure d’attirer les spectateurs ?
Andrea : Ca dépend. Une histoire n’a rien à voir avec l’autre et les gens connaissent l’histoire qu’ils vont voir.
Joel : Nous sommes tous de notre père et de notre mère, et dépendant beaucoup de comment circule l’air, nous aimons une chose ou l’autre. Au final, ce qui bouge est le bouche à bouche et c’est ce dont les gens ont besoin, allez au ciné et rire. C’est ce qui est important. Oublier les problèmes qu’il y a à la maison et passer un bon moment. Et aussi que ça fonctionne. Mais que tout fonctionne, pas seulement le cinéma, sinon la menuiserie, plomberie… tout. C’est ce dont a besoin l’Espagne en ce moment même.

Que va nous offrir cette nouvelle adaptation que n’a pas faites l’italienne ?
Andrea : Elle a beaucoup de bonnes choses que l’italienne a aussi. En la italiana, par exemple, est beaucoup plus présente la relation des deux personnages principaux, mais dans l’espagnole il y a plus de variétés, elle nous raconte l’histoire de tous les amis qui sont acteurs de comédie et très amusants… elle est très bien.
Joel : Moi au début, j’ai pensé que ce serait un film ‘sentimental’ et iréel, mais en plus d’être amour et romantisme, c’est une comédie et amusante. Tu vas sortir d’ici et dire « cela peut m’arriver à moi ». Ce n’est pas le film typique.

C’est habituel, depuis toujours de trouver dans les salles de cinéma des adaptations de livres qui ont eu un grand succès sur le papier et qui cherchent à le trouver aussi sur le grand écran. C’est plus risqué de se mettre dans la peau d’un personnage qui préalablement des milliers de lecteurs se le sont imaginés ?
Andrea : Moi je crois que c’est beaucoup plus difficile de se mettre dans la peau de quelqu’un qui existait déjà comme DiCaprio dans ‘Le loup de Wall Street’. De plus, comme ils ont déjà une référence préalable du film italien et bien cela est toujours là.
Joel : Ce qui se passe c’est que toi quand tu lis un livre tu t’imagines le personnage d’une certaine manière. C’est clair, après, c’est plus compliqué à l’heure de choisir les acteurs aux castings parce que tu peux décevoir le spectateur.

Vous avez tous les deux participé à des séries juvéniles qui ont marquées l’adolescence d’une génération comme ‘Physique ou Chimie’ et ‘La percera de Eva’. Vous regrettez dans l’actuelle grille télévisuelle une fiction de ce type ? De quelle manière peuvent influencer ces histoires dans la croissance des jeunes gens ?
Andrea : Oui. Moi je crois que les adolescents ont toujours besoin de quelque chose pour eux mais il y a des époques et étapes. Par exemple, ‘Physique ou Chimie’ est arrivé à une époque pendant laquelle ça faisait huit ou dix ans qu’il ne produisait plus de séries pour adolescents après le boom de ‘Compañeros’ et il y en avait besoin. Avec ‘La percera de Eva’ s’était pareil. Les jeunes ont besoin de séries pour se sentir identifiés.
Joel : Moi ‘La percera de Eva’ me manque beaucoup (rires). Maintenant il y a ‘Dreamland’ mais son horaire est compliqué.

Beaucoup de collègues de travail profitent des périodes entre les projets pour continuer leur formation, voyager à l’étranger pour perfectionner les langues ou essayer d’autres domaines. A quoi vous dédiez vous quand vous n’avez pas une histoire entre les mains ?
Joel : En ce moment même, travailler. Nous avons ouvert un restaurant à Collado Villalba et nous essayons de tirer une source de rémunération supplémentaire parce que notre travail est très instable.
Andrea : Et aussi étudier. Par exemple, moi en ce moment même je suis avec l’anglais.

Le personnage de Yoli dans ‘Physique ou Chimie’ a fait que tu as gagné l’affection d’une audience très fidèle durant plusieurs années. Trois ans après son final, qu’est resté en toi de cette étape ? Quel est le meilleur qu’elle t’a apporté ?
Andrea : Moi de Yoli j’ai appris beaucoup parce que j’étais vraiment petite, quand j’ai commencé et elle m’a apporté beaucoup de valeurs, beaucoup de moments, beaucoup de rires, beaucoup de larmes… nous avons énormément travaillé pendant ces années. ‘Physique ou Chimie’ disons qu’elle ‘m’a fait’. Elle m’a apporté des moments très bons et de pouvoir travailleur avec des gens qui m’ont beaucoup enseigné. C’était un lycée dans le fond, tous les jours nous apprenions quelque chose de différent. Ca a été comme une école d’interprétation sans te rendre fou.

Être lié à un personnage autant de temps (personnage de Yoli dans PoC) peut provoquer que des traits déterminés ou étiquettes de celui-ci soit associés à la personne qu’il l’interprète. Ca t’as coûté de te détacher d’elles ?
Andrea : Le personnage avait des choses à moi mais, voyons voir, je serais toujours ‘La Yoli’ et je suis très fière de cela. Tous les personnages n’ont pas eu l’affection qu’ils ont eu pour moi. Et cela n’est pas non plus facile à obtenir.

Nacho est un de ces personnages avec lequel tu as été ‘proche’ pendant beaucoup de temps. Se traitant d’un personnage avec des scénarios improvisés uni à l’handicap de son bégaiement. Il y a eu beaucoup de travail de préparation pour le doter de ce naturel ? Qu’as supposé pour toi devoir lui dire adieu ?
Joel : Non. J’aime beaucoup faire le con et un de mes films préférés est ‘Peur primale’ où Richard Norton a un peu de bégaiement. De plus, j’ai été à l’Association Espagnole des Bégayeurs et le producteur aussi a un peu de bégaiement… ainsi que tout a été très bien. Et oui ça m’a couté de lui dire adieu parce que ça a été une très bonne équipe et un très beau travail. En vérité ça m’a fait beaucoup de peine.

On pourrait dire que Sebastian dans ‘Tierra de Lobos’ a été l’un des rôles de ta vie. Quel a été le plus compliqué d’avoir que de se plonger dans une époque aussi différente à l’actuelle ? Et le plus amusant ?
Joel : Avec les décors et costumes ils font tous si réel qu’ensuite tu te mets dans l’époque. J’avais déjà travailler en Colombie dans une série d’époque et, par exemple, comme là bas l’espagnol ancien n’était pas non plus pareil que celui d’ici, ça m’a plus coûté. Peut être la façon de parler, de bouger… mais avec les gens des accessoires et les gens qui se consacrent à construire les plateaux tout es beaucoup plus simple.

L’ère digitale est arrivé aussi à la télévision, permettant de traiter les images pour que le résultat final soit beaucoup plus réel et convienne à l’époque à laquelle appartient l’enregistrement. Comment cela influence pendant le tournage ? C’est plus difficile d’interpréter quand de déterminants facteurs scéniques ne sont pas présents parce qu’ils s’ajouteront dans un processus postérieur ?
Andrea : ‘Victor Ros’ se faisait dans la Cava Baja de Madrid et clairement cela est impossible, alors ils ont dû utiliser la technologie. Mais bon, comme il y a déjà des choses qui sont difficiles à faire et bien… une de plus.
Joel : Dans ‘Victor Ros’ les décors sont d’époque mais la différence est qu’avant ils mettaient des images en grand sur un panneau et maintenant tout est de l’incrustation. C’est plus difficile de faire une incrustation et dire que tu étais dans une poursuite sur un toit par exemple.

Enfin, quelle est la plus grosse folie que vous ayez faites ou que vous feriez pour obtenir un rôle ?
Andrea : Moi aucune en réalité. Et je n’en ai pas l’intention.
Joel : Moi je crois qu’il faut avoir confiance en toi et être au moment adéquat. C’est le plus important.

Test personnel Joel
Choisis… Cinéma, théâtre ou télévision : Les trois.
Acteur/Actrice inspirateur(trice) : Edward Norton.
Personnage rêvé : Celui qu’a interprété Matt Damon dans Will Hunting.
Réalisateur avec lequel tu aimerais travailler : Avec tous.
De ne pas être acteur tu serais : Vétérinaire.
Si tu étais en train de tourner une comédie romantique, ta moitié serait : Andrea Duro.
Comédie ou drame : Drame
Une ville : New York.
Une manie : Collectionner les chaussettes.
Prochainement nous te verrons dans : ‘Por un puñado de besos’, ‘Perdona si te llamo amor’ y ‘Victor Ros’.
Série que tu suis en ce moment même : ‘El Principe’.
Une chanson qui ne cesse de sonner dans ton baladeur : ‘Gorilla’ de Bruno Mars.
Un mot qui te définit : Pénible.

Test personnel Andrea
Choisis… Cinéma, théâtre ou télévision : Cinéma.
Acteur/Actrice inspirateur(trice) : Sean Penn.
Personnage rêvé : Juana la folle.
Réalisateur avec lequel tu aimerais travailler : Daniel Sánchez Arévalo.
De ne pas être acteur tu serais : Physiothérapeute.
Si tu étais en train de tourner une comédie romantique, ta moitié serait : Ashton Kutcher.
Comédie ou drame : Comédie.
Une ville : Paris.
Une manie : Je ne peux pas partir de la maison sans faire le lit.
Prochainement nous te verrons dans : ‘Por un puñado de besos’, ‘Perdona si te llamo amor’ y ‘Victor Ros’. Ah et sur youtube !
Série que tu suis en ce moment même : ‘Galerias Velvet’ y ‘El Principe’.
Une chanson qui ne cesse de sonner dans ton baladeur : ‘Shot me down’ de David Guetta.
Un mot qui te définit : Têtue.
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