Deuxième étape : El Hajeb – Errachidia | Segunda etapa : El Hajeb – Errachidia

Après une nuit glaciale et avec une pluie constante, dès le matin, nous avions hâte de commencer cette étape annoncée comme un défi de résistance et d’orientation pour toutes les équipes. Au final, ça a été 420km desquels plus de 130 sont passés par piste.

D’abord nous avons croisé une zone de bitume avec les montagnes sensationelles enneigées d’Ifran, à une altitude moyenne de 1950m, pour ensuite descendre par Missour jusqu’à nous enfoncer dans les premières pistes. Maintenant au plateau de Rakkam, le paysage a fait un tour complet et nous avons dû doubler l’effort sur un terrain désertique plein de pierres. De plus, la pluie a laissé la terre très compact et avec beaucoup de nids de poule.

Une des clés de l’étape a été la navigation dans le labitynthe de carrefours que nous avons surpassé. De plus, se sont intercalés des morceaux de bitume, des pistes avec des grands oueds (des rivières sèches) et des montées par des ports. Nous avons fini jusqu’à l’épuisement que lève cette terre sablonneuse.

Dans les derniers instants, nous nous sommes enfoncer dans la gorge qui parcourt le fleuve Guir pour profiter d’un passage très stimulant remplis de hameaux et de palmiers.
A la fin, très fatigués, mais avec la satisfaction d’être arrivé au campement d’Errachidia.

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Después de una noche fría y con una lluvia constante, por la mañana, ya teníamos ganas de empezar esta etapa anunciada como un reto de resistencia y orientación para todos los equipos. Al final, han sido 420km de los cuales más de 130 ha discurrido por pista.

Primero hemos cruzado una zona de asfalto con las imponentes montañas nevadas de Ifran, a una altitud media de 1950m, para después descender por Missour hasta adentrarnos en las primeras pistas. Ya en el Plateau de Rakkam, el paisaje ha dado un giro completo y hemos tenido que doblar el esfuerzo en un terrero desértico lleno de piedras. Además, la lluvia ha dejado la tierra muy compacta mezclada y con muchos tramos de baches.

Una de las claves de la etapa, ha sido la navegación en el laberinto de cruces que hemos ido superando. Además, se han intercalado tramos de asfalto, pistas con grandes oueds (rios secos) y subidas por puertos. Hemos acabado hasta las cejas del polvo que levanta esta tierra tan arenosa.

En los últimos tramos, nos hemos adentrado en la garganta que recorre el río Guir para disfrutar de un paso muy estimulante protagonizado por aldeas y palmeras.
Al final, muy cansados, pero con la satisfacción de haber llegado al campamento de Errachidia.